Nous nous engageons dans la saison des vernissages de septembre et du
réveil des galeries qui font souvent une pause estivale. Voici quelques suggestions pour organiser
votre semaine prochaine…
Yann Pocreau, artiste nouvellement représenté par la Galerie Simon Blais ouvre le bal le 12 septembre à 18h00 avec une exposition de photos prises
sur des chantiers de construction. Sa
grande maîtrise de la composition et de la lumière de pair avec l’architecture
et les transformations d’un habitacle humain donneront très certainement un
résultat fort probant. Pas de doute.
Yann Pocreau, Chantier - 3, 2012, épreuve à développement chomogène (édition de 3), 127 x 193 cm © Yann Pocreau (2012) |
Parenthèse. Yann Pocreau a travaillé sur quelques
chantiers des jeunes architectes avec lesquels je suis tombée en amour. Ils sont 3, brillants, pétillants et livrent
des projets à vous couper le souffle. La Shed Architecture, voyez leur site pour suivre leurs périples et tomber en amour aussi. Fermer la parenthèse.
Projet Saint-André, La Shed Architecture, photo : La Shed Architecture |
Le lendemain le 13 septembre, c’est Rick Leong et Dean Baldwin qui vernissent leurs œuvres à la Parisian Laundry. Le premier avait fait couler beaucoup d’encre
et créé une petite frénésie en 2008 alors qu’il avait été finaliste pour le
concours de peinture RBC. Ses paysages habités
d’un mélange de fantaisie et de mélancolie demeurent à ce jour des œuvres convoitées.
Rick Leong, The Roaming Gloam, 2010, huile sur toile, 10' x 12' |
Et nous avons pu vivre les installations du second à la triennale du
MACM et lors de l’expo Oh ! Canada ! du Mass MoCa. Il saura assurément instaurer dans la galerie
un caractère plus ludique et sympatique.
Beau mélange.
Dean Baldwin, Ship in a bottle, 2011, MACM |
Après 2 soirs de vernissages, on pourrait s’offrir une petite sortie de
danse. Marc Béland, cet acteur formidable et ancien danseur de La la la
Human Steps, orchestre une soirée où 4 danseurs de parcours différents nous
offrent chacun un solo. Au Monument National. Ne serait-ce que pour le 10
minutes de Marc Béland et sa présence sur scène…
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